Quelles sont les dates de stage ?
Les vôtres car chez Aquadomia il n’y a pas de calendrier c’est vous qui fixez vos dates, toute l’année même en hiver !
Je suis seul : puis-je m’inscrire à une formation en mini groupe aux dates de mon choix ?
Oui bien sûr puisque nous avons quasimment toute l’année des stagiaires des différents niveaux, certes en tout petit comité, mais celà vous permet en étant seul de bénéficier du tarif mini groupe !
Quelle est la température de l’eau à Marseille ?
De 12 degrés en plein hiver à 25 en plein été, en sachant qu’à tout moment même estival le mistral peut faire chuter l’eau à 16 degrés. Vos combinaisons sont adaptées à ces températures.
Qui peut pratiquer ?
En principe, il n’est pas nécessaire d’être sportif ou bon nageur pour se jeter à l’eau. Il suffit d’avoir plus de 10 ans, d’être en bonne santé, de ne pas être enceinte et de se mettre un minimum en condition physique. Pour suivre une formation, un certificat médical est obligatoire.
Des maladies ou des déficiences qui n’auraient pas d’incidence à la surface peuvent avoir des conséquences graves en milieu sous-marin. Il est donc indispensable de consulter un médecin avant votre stage. Cette visite permettra aussi de vérifier la compatibilité avec cette activité d’un traitement prescrit. Les sédatifs, somnifères et antalgiques majeurs sont incompatibles avec la plongée.
Les enfants peuvent pratiquer la plongée sous-marine à partir de l’âge de 10 ans pour acquérir un premier niveau Junior Open Water PADI, avec un équipement adapté, dans un environnement approprié. Au-delà de la motivation des parents, c’est le désir des enfants qui doit primer.
Quels organismes ?
1. Programme PADI (Professionnal Association of Diving Instructor Professionnal) ou SDI (Scuba Diving International)
C’est sans conteste le plus important système d’enseignement du monde. Quelque soit l’endroit dans le monde où vous irez (à part la France et la Belgique) votre niveau sera reconnu. Le principe pédagogique est basé sur des standards très précis et détaillés qui vous permettent de commencer votre formation dans un endroit et de le finir dans un autre sans que cela ne pose de difficultés pour les instructeurs qui vous encadrent. Les diplômes PADI ou SDI deviennent indispensables lorsque vous voyagerez dans certaines parties du monde (Pacifique hors Polynésie Française, une grande partie de l’océan Indien, les Caraïbes…).
2. Programme CMAS (Confédération Mondiale des Activités Subaquatiques)
C’est une fédération internationale qui regroupe les fédérations nationales de plus de 90 pays. Les niveaux CMAS sont reconnus par la fédération Française. Les progressions sont basées sur des compétences techniques et la recherche de l’accession à l’autonomie.
3. Programme ANMP CEDIP
Association Française qui regroupe les moniteurs de plongée Français Professionnels (titulaires d’un Brevet d’Etat d’Educateur Sportif). Les formations sont elles aussi orientées sur l’acquisition de compétences technique assez proche des contenus FFESSM.
4. Programme FFESSM
C’est le système d’enseignement qui est le plus pratiqué en France (plus de 130 000 licenciés). Les progressions sont basées sur des compétences techniques et la recherche de l’accession à l’autonomie. Elles sont dans l’esprit proches des formations CMAS.
Quelques conseils ?
La plus grande partie des accidents ne tient pas à des maladies restées ignorées mais à des pratiques dangereuses de la part des plongeurs qui surévaluent parfois leurs conditions physiques. Voici quelques conseils pour que votre découverte des grands fonds se déroule en toute sécurité :
• Même si vous êtes en excellente forme physique, prenez rendez-vous avec votre médecin avant tout séjour ou stage de plongée.
• Avant le départ, prévoyez toujours une petite remise en forme.
• Avant la séance, familiarisez-vous tranquillement avec le milieu aquatique (nagez, regardez sous l’eau…) pour réduire les appréhensions. Soyez certain d’être motivé par l’activité et non de l’effectuer sous la pression de votre entourage. Dès la surface, suivez impérativement les règles de sécurité expliquées au fur et à mesure par votre moniteur.
• Il est indispensable de porter une combinaison qui remplira une double fonction d’isolation thermique (vous pouvez être victime d’un refroidissement même dans une eau très chaude) et de protection contre la faune, la flore ou les formations acérées comme les récifs de corail. Choisissez un équipement complet, adapté (masque, sangle…) et dans lequel vous vous sentez à l’aise. Sous l’eau, respirez normalement, sans chercher à économiser votre air.
• La pression est un critère fondamental dans la pratique de ce sport. Le plongeur ressent son effet particulièrement sur les tympans ; il faut tenir compte des délais d’égalisation des pressions aussi bien à la descente qu’à la montée. Pour ce faire, pensez à souffler doucement tout en vous pinçant le nez de façon fréquente avant même qu’une gêne apparaisse pendant la descente, et respectez les paliers de décompression lors de la remontée. Attention ! Cessez toute plongée dans un intervalle de 24h avant de prendre l’avion (et même 36h pour les plongées à répétition ou à de grandes profondeurs) ou d’entreprendre une balade en montagne. Ne pas respecter ce délai peut être dangereux.
• Pour prévenir une éventuelle inflammation du conduit auditif, limitez l’utilisation des cotons-tiges ou les rinçages pour nettoyer les oreilles. En cas d’otite, consultez un médecin qui vous prescrira un traitement approprié. Les plongeurs particulièrement sujets à ces troubles doivent observer strictement les mesures préventives recommandées par leur médecin.
• Lors d’un accident de plongée, il est primordial de suivre les consignes du moniteur qui connaît les conditions locales et les gestes à effectuer.
• Lors de la pratique de snorkelling (nage avec masque, palmes et tuba), n’oubliez pas de porter un tee-shirt et de la crème solaire. Limitez les distances et retirez votre tuba de la bouche de temps en temps pour vous ventiler. Évitez les apnées à répétition et sans surveillance ; enfin, ménagez-vous des moments de repos entre deux immersions.
• En voyage, n’attendez pas votre retour pour consulter un médecin en cas de problème. Si vous avez des questions ou des doutes concernant votre état de santé, le médecin régulateur de votre société d’assistance est à votre disposition pour vous écouter et vous aider. Il peut vous donner des conseils utiles, se mettre en rapport avec votre médecin traitant et organiser une consultation sur place.
Quelles sont les formalités administratives ?
La loi impose :
– Un certificat médical de non contre indication à la plongée sous-marine délivré par votre médecin de famille pour un premier niveau, et si possible par un médecin fédéral ou un médecin du sport ou un médecin hyperbare pour les niveaux suivants.
– Une autorisation écrite de pratique des parents ou du tuteur légal.